(SUITE)
Proverbes :
QUI SOMMES-NOUS ?
Nous sommes des êtres humains. L’homme est connu par l’apprentissage et l’enseignement, le transfert du savoir et compétences. Il crée les événements et les changements. Il use de son intelligence pour construire ou détruire. Il est acteur. Oui, il est acteur dans les deux sens positif ou négatif. Il crée l’événement, il le vit et le fait vivre par les autres. Ces autres qui vivent cet événement à leur grés ou malgré eux. S’ils sont contraints de vivre sans le vouloir ils subissent.
L’homme est un moteur plein d’énergie. Il crée le mouvement. Il influence. Il s’influence. Il peut être le propulseur principal, comme il peut être, juste, une courroie de transmission ou une pièce de ce moteur ou du tout rien. Dans ce dernier cas, il choisit la neutralité et accepte d’être mouvementé par le courant. Il ne résiste même pas. Ce genre de personne est effacé. Son existence ou sa vie est comme le feuillage d’un arbre soumets au gré des vents et aux saisons. Heureusement, ce n’est pas votre cas. Je le crois puisque vous lisez ce livre.
Alors, pourquoi accepter de subir ce que les autres veulent pour vous. Il faut savoir que le monde est fait de gens de toutes couleurs, de toutes politiques. Les riches cherchent à rester riches à avoir, pour toujours, les pauvres à leur service. Les riches changent entre eux des intérêts et les rôles pour préserver leur rang à la tête de la pyramide et contrer les pauvres. Ce qui se pratique entre pays riches et pauvres se pratiquent de la même façon entre les couches sociales d’une population déterminée. Rappelez-vous l’ère de l’esclavage comment les riches ont résisté devant son abolition et la lutte féroce contre Luther Martin King et ses disciples. S’il y a des hommes sages à principes et valeurs en faveur de l’humanité, il y a totalement le contraire chez d’autres. Il y des hommes loups qui cherchent des proies. Qui accepte d’être proie ? A mon sens, aucun et si certains l’acceptent sont peut être totalement naïfs, innocents ou contraints à le faire malgré eux.
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